Dans la course effrénée du temps, je garde au creux des mes yeux la vibration du bleu, ces particules lumineuses qui captent notre ailleurs puis le laisse disperser, aveuglante séduction d’une cacophonie, autres étoiles explosant de solitude, juste avant de quitter l’orbite des amours terrestres,
quelque part vers les pôles, les âmes s’attachent boréales aux êtres humains, à celles qui prennent le temps d’être là, d’exister au milieu de cette nuit d’émotions.
d’après la photo Night in motion du photoblog Fellow Eskimo Photography
C’est très beau.