Issue du noir, l’épaisseur bleu cherche une vie, être plus qu’un contraste au rouge, ronger le halo d’ombre pour happer de sa sensualité les rythmes de fuite, s’abstraire du reflet frissonnant, la pierre-glace cligne de l’oeil pour confondre notre désir nu, le rouge-fantasme n’est qu’une fictive amnésie, abstraits traits d’ombres intérieures qui dénient le glacial hors champs, ces sous-entendus rendent brûlant le pigment, cette matière irréelle plus forte que la chair humaine, ne pas se diluer dans le flou chromatique, la couleur s’efface dans le miroir de mon regard, grésillement morbide
Abstraction series I (1 of 7) du photoblog Pygment
Thanks for your insight (i had a friend translate it into English for me). You have a very elegant turn of phrase and I’m happy that my work was able to insire you.
Thank you.