Ma vie est un labyrinthe
où je m’éreinte
criant ma plainte
dans un air sans teinte
je me perds dans le brouillard qui suinte
chaque détour est une feinte
je bois ma douleur comme un pinte
et la mort n’est pas ma seule crainte
mon corps rigide comme une plinthe
gît sur le pavé, toute respiration éteinte
l’issue n’était peut être plus hors d’atteinte
d’après photoblog Terminal 715, inspiré de la photo Pile of wood