les phrases s’effacent
la page s’épure d’une complainte
la blancheur crisse cette évidence
poésie intime des caresses
cette trame sensuelle des coeurs
qui s’écrit sur cette peau
laissant plus de traces qu’un
trait de plume, même généreux
froisser le corps est plus violent qu’
écraser une feuille (de papier)
les mots peuvent ne pas
toucher
la main non
d’après le photoblog maivju:z , inspiré de la photo …but not touch