Quand la vie m’accable par sa vacuité, je descends dans la vieille cave, je regarde sans nostalgie les variations du passé accumulées ici, j’imagine les vies d’avant, péripéties riches ou vaines, j’entends la rumeur des machineries et les voix des comédiens, des cantatrices, des techniciens…
j’écris la lumière de ma mémoire que n’a pas tout a fait grignoté la folie.
d’après le photoblogue de Line Lamarre, inspiré de la photo LINE
(tentative de traduction en anglais par mes soins)
The light line
When I see my vanished life, I go down to the old cellar, I watch without nostalgia all the signs of my past which getting lost here, I imagine all my ancient existences, exciting times or futile days, I hear the murmur of the engines and the voices of actors, singers, technicians…
I write the light of my memory almost alive in front of the madness attack.