La femme n’était pas la mariée, elle se perd dans le décor de ses affabulations, la pièce est perdue, le sens s’est décomposé avec le papier peint, aucune écriture ne lui donnera la grâce du chemin, son corps se cache
la femme gesticule pour distraire du drame, de la fin des illusions, de l’absence de mots à dire,
il n’y a plus rien à cacher sauf le souvenir des belles choses
trop éparpillées dans son vide
d’après le photoblog Irregular d’Ernesto Timor, inspiré de la photo Se souvenir des belles choses