J’ai rêvé mes vies, travail, passion, amour, désarroi pouvaient se lire sur mon visage à la fenêtre des trains, j’ai vu trop de paysages se construire de nos vides, le d de détruire dans nos vies, j’ai voulu fuir mais toujours la nostalgie de mon pays, toujours ces ciels uniques où il fait bon mourir à l’ombre des arbres, chaque soir, j’attends… et puis je rentre en laissant mes rêves à la gare, je ne crois plus au demain peut-être, j’attends juste la fin de la musique, celle qui me fait sourire sur le trajet
inspiré du Photoblog Denis P Photographies, d’après la photo Dans l’ombre de cette gare