Je voudrais ne pas trembler
respirer avec quiétude
sauf que
mon corps oppressé
sait mieux qui moi
ce qui écrase
sauf que les doutes
comprime ma voix
faible filet de mot
sauf qu’il n’en peut plus
de ce flot d’inquiétude
sauf que l’angoisse
cette déferlante cherche
à écraser les maigres mots
sauvé à la gorge serrée
sauf que l’oubli
voudrait tout aspirer
jusqu’à l’asphyxie.
jolie poésie
écrit juste mots, compriment, sauvés
visite s’il te plait mon blog tu me diras ce que tu en penses
Tapes skrifelleg dans google
Merci.
J’aime bien tes poésie minutes. De manière générale, je préfère la brièveté en poésie.
J’accroche moins aux autres notamment à cause de la mise en page. Pourquoi ne pas faire un billet par poème?