Quand je marche dans la rue, longtemps, je finis par avoir ce sentiment d’absence, mon corps deviendrait presque inconsistant voire transparent, je deviendrais une image imprécise, flou dans le regard des autres qui se soucient à peine d’eux-même et tellement de leur destination, du but fixé, de la fin du voyage, … qu’ils s’oublient dans l’instant, simples silhouettes entre la vie et la mort, c’est alors que la peur panique me saisit de me décomposer en une multitude de pixels informes.
d’après la photoblog The Rip, inspiré de la photo Resolution
on est proche de la réalité augmentée où la virutalité se confond avec une « certaine » réalité …
je suis le lien …