Doux délire qui strie jusqu’à la pierre
avec une infini lenteur
je perds mes repères
se volatiliser dans l’écho
aucune souffrance
à peine ce petit mal être
qui s’accroche à la mélodie
impossible de saisir
le souffle continu
d’après le morceau Oblivion d’Astor Piazzolla, interprété par Gidon Kremer
grande unité et complicité dans cette musique douce et nostalgique…
merci aussi de ton écrit qui lui fait pendant…
Ren
c’est un compositeur que j’aime beaucoup et que me touche toujours autant à chaque fois que je l’écoute…
Il semble ici que tout peut être contenu dans l’étroitesse d’une perception.
Belle et fine découverte que ce blog où je pénètre envoyée par Rechab.
Il entre dans mes favoris.
Arthémisia
merci! 😉