Disséqués par la banalité
les mots se noient dans un brouhaha
tellement vidés de leur essence
qu’ils sont incapables d’exploser pour nous.
(journal des mots n°79 / 10 mai 2012)
île de mots…
Disséqués par la banalité
les mots se noient dans un brouhaha
tellement vidés de leur essence
qu’ils sont incapables d’exploser pour nous.
(journal des mots n°79 / 10 mai 2012)