Arrachant la souffrance
les mots bleus de nuit s’effacent
le malaise reste encore diffus
jusqu’à la première étoile.
(journal des mots n°96 / 12 juin 2012)
île de mots…
Arrachant la souffrance
les mots bleus de nuit s’effacent
le malaise reste encore diffus
jusqu’à la première étoile.
(journal des mots n°96 / 12 juin 2012)
Reblogged this on Down Of Love.
Aux portes des confins,
Les couleurs de l’absence,
Forment en apparence
Des yeux de Séraphins.
Ces miroirs dans le ciel
Evincent les noirs nuages
En baumes et voyages
A la douceur du miel.
Cela délivre un peu
L’être de son empire
Sur les sorts à construire
En attendant l’Adieu.
très bel écho… j’aime beaucoup!