prendre des mots pour griffer
la page blanche, celle qui sourit à notre désarroi
y froisser la poésie qu’elle n’oubliera jamais
et l’abandonner aux milieux de ses habits de nuit.
(journal des mots n°112 / 4 août 2012)
île de mots…
prendre des mots pour griffer
la page blanche, celle qui sourit à notre désarroi
y froisser la poésie qu’elle n’oubliera jamais
et l’abandonner aux milieux de ses habits de nuit.
(journal des mots n°112 / 4 août 2012)