Polis par la blancheur du sable
mes yeux pleurent les mots libres
l’écume bleue des vacances
emportés par le vides des nuages.
(journal des mots, hors série été 2014)
île de mots…
Polis par la blancheur du sable
mes yeux pleurent les mots libres
l’écume bleue des vacances
emportés par le vides des nuages.
(journal des mots, hors série été 2014)
Au hasard des textes
Je cherche un homme de bien
Celui qui connaît peu
Mais qui rêve à mots ouverts
Le regard posé sur l’océan
(Journal des mots hors série été 2014)
Pas de ligne de fuite
les je du mots
sont un drôle de labyrinthe
entre l’autre et l’ailleurs.
(journal des mots n°181 / 1 novembre 2013)
Quand le cri s’est tue
le poète se met à l’abri des mots
pas le silence, non,
l’attente de la phrase
qui éclaire le calme.
(journal des mots n°180 / 20 octobre 2013)
Sous les lignes
les mots sont des brisures intimes
que croquent le désespoir
pour oublier la douleur.
(Journal des mots n°179 / 19 octobre 2013)
Il n’y a pas de labyrinthes
sans issues par les mots
doux ou violents
qui déchirent les impasses.
(Journal des mots n°178 / 6 octobre 2013)
Le poète fatigué épluche les mots
cherchant dans ce rituel
une issue à l’amour.
(journal des mots n°177 bis/ 15 septembre 2013)
Le poète fatigué épluche les mots
cherchant dans ce rituel
une issue à l’amour.
(journal des mots n°177 bis/ 15 septembre 2013)
Il y a des phrases impossibles
qui brillent devant vos yeux
et le reflet des mots
ne fait pas que provoquer la panique
il tue.
(journal des mots n°177 / 15 septembre 2013)
D’un coup de patte
les mots poudroient dans le ciel
et le renard ébloui
ne regarde plus l’aurore boréale.
(journal des mots n°176 / 18 août 2013)