Marcher dans les reflets de la forêt, ne plus avoir d’autres ombres que ces feuilles perdues, errer comme une âme sans ombre, à la recherche des mots perdus, d’une phrase qui viendrait changer…
et parfois, se laisser éblouir par un contre-jour, cette lucidité de la nature qui vous étourdit et n’attends que votre regard pour se sentir belle.
d’après le blog la langue des papillons, inspiré de la photo Plateau de millevaches 2